Le mois de juin aura été marqué de hauts et de bas. Un tourbillon émotionnel qui m’aura prouvé, une fois encore, que la photographie est la plus douce des thérapies. Et que le “clic” de l’obturateur est le plus agréable des sons quand on est plongé dans la pénombre.

Regarder autour de soi, composer avec ce qui nous entoure, jouer avec la lumière, capturer. Même si j’ai parfois l’impression que j’ai passé davantage de jours la tête sous l’eau qu’en dehors, le mois de juin aura eu un mérite : celui d’être une formidable muse photographique. Peut-être parce que je souhaitais fuir la réalité ? Ou l’enjoliver ? Ou tout simplement occuper mes pensées. Qu’importe au fond, je n’ai jamais pris autant de plaisir à sortir mon appareil photo que lors de ces dernières semaines.

Escapade en van, lifestyle en famille, portrait, portage… Je me suis même remise au noir et blanc, ce qui n’était pas arrivé depuis mon escapade à Amsterdam ! Et puis, il y a eu l’arrivée d’un nouvel objectif… !

J’ai beau adoré mon 24-70, j’étais en manque d’une focale fixe avec une chouette ouverture. Et puis j’avais besoin d’un peu de challenge, car je commençais à devenir feignante à force d’utiliser le zoom plutôt que mes petites jambes.

Résultat ? Des tas de nouveaux clichés que j’ai d’ores et déjà commencé à partager sur mon compte Instagram. Et qui arriveront tout bientôt sous la forme de galerie ici aussi.

Allez, j’espère que juillet sera plus doux émotionnellement parlant mais photographiquement tout autant productif !

Noalie