Le mois de juin aura été marqué de hauts et de bas. Un tourbillon émotionnel qui m’aura prouvé, une fois encore, que la photographie est la plus douce des thérapies. Et que le “clic” de l’obturateur est le plus agréable des sons quand on est plongé dans la pénombre.
Des mois ont passé depuis ma dernière publication ici (ou sur mon compte Instagram). Je n’ai pourtant pas arrêté la photographie, loin de là, mais j’ai eu besoin de me recentrer.